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361Nollets Maschine die zusammengesezte Bewegung zu zeigen, von
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Eichen Holz.[2 Rthl]
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Überlieferung: 1812 (H1, p. 16): „A. 54. Nollets Hammermaschiene mit
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grünem Tuch bezogen, und mit Hämmern versehen, die man gegen
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Billardkugeln schlagen lassen kan, um die Diagonalbewegung pp zu
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erläutern.“, 1831: „repos. 1 [= bey den Vorlesungen nicht gebraucht (…),
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indessen doch aufzubewahren]“, 1838: „in den untern Räumen des Cabinets /
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Hämmer fehlen“, 1849: „Ausschuss“; (Brouillon z. Ausschuß; H754, Bl. 91r):
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„verkauft“.
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Referenzobjekt: Morton, Science 1993, 343 (M68) m. Abb.
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Vgl. Nr. 22. Es ist möglich, daß sich die dort genannten Zeugnisse von Gamauf,
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Dyckerhoff und Benzenberg auch auf die hier verzeichnete ähnliche „Maschiene“
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(Nr. 361) beziehen. – Nollet (Leçons 2, 1753, 19 f. und V. Leçon, Pl. 2, Fig. 9)
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hat diese Vorrichtung beschrieben: „A B C D, Fig. 9. est un petit billard, au bout
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duquel s’éléve perpendiculairement un chassis qui porte deux aîles tournantes
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E F; à chacune de ces aîles, est suspendu un marteau d’ivoire qui se meut
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librement autour du point G. On dirige les marteaux comme l’on veut, en
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tournant plus ou moins les aîles qui les portent, & l’on régle leurs vîtesses dans
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tel rapport que l’on souhaite, en les faisant tomber par des arcs plus ou moins
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grands, mais toujours en même tems sur une bille d’ivoire placée en H. / […]
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Quand les marteaux ont des vîtesses égales, & que les aîles sont également
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inclinées à la ligne H I; la bille après le choc, suit cette derniere direction. Si les
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deux coups sont inégaux, ou les directions différemment inclinées, la bille décrit
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une ligne qui s’écarte plus ou moins de H I, comme H B, ou H K, selon le rapport
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des forces qui l’ont déterminée à se mouvoir.“
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